avec le traitement d’images MUSICA™
MUSICA™ est conçu avec des radiologues, pour tous les experts en radiologie
pour toutes les solutions DR et CR d’Agfa
avec l’image complémentaire Cathéter
avec la Tomosynthèse Numérique
avec MUSICA™ 3
avec MUSICA™ 3+
“La nouvelle génération du logiciel de traitement d’images MUSICA est extrêmement performante. Nous pouvons examiner plus de patients dans le même laps de temps avec le même nombre d’employés”
“ La qualité de l’image est exceptionnelle ! MUSICA et le DR 600 assurent la fluidité et l’efficacité du flux de travail en imagerie, tout en répondant aux besoins de qualité et de réduction de la dose pour les patients et le personnel. Le fait que nous n’ayons pas besoin d’ajuster les images présente de nombreux avantages : qualité de l’image, flux de travail, efficacité… nous gagnons beaucoup de temps. Nous obtenons également une apparence cohérente de nos images, ce qui est important pour les référents et les cliniciens.”
“La tomosynthèse numérique avec notre DR 800 nous offre un complément d’imagerie qui accélère le diagnostic. Elle révèle des éléments qui pourraient ne pas être visibles avec une radiographie classique. Elle peut être réalisée sans déplacer le patient du service de radiologie.”
Une étude évaluant la capacité du traitement d’images à améliorer la visualisation du positionnement de l’extrémité du cathéter central chez les nouveau-nés a récemment été publiée dans BMC Medical Imaging.
Les auteurs ont constaté que le traitement MUSICA™ Catheter d’Agfa avec la technologie Fractional Multiscale Processing (FMP) améliorait considérablement la perception des extrémités de PICC line à faible contraste sur les radiographies numériques du thorax, par rapport au traitement d’image standard.
Plusieurs cas musculo-squelettiques ont été présentés avec des indications, des exemples d’imagerie (2D et Tomosynthèse Numérique) et des propositions de valeur ajoutée de la Tomosynthèse Numérique. Ces dernières comprennent un cycle de diagnostic plus court et une amélioration significative des soins aux patients. Ces cas indiquent qu’en ne nécessitant qu’un effort supplémentaire limité (prolongation de la durée de l’examen 2D) et une dose de rayons X nettement plus faible (par rapport à la tomodensitométrie), un avantage clinique évident est obtenu.
L’étude montre avec une grande confiance statistique que seule la moitié de la dose prescrite par les NDRL allemandes est nécessaire pour obtenir une qualité d’image et une confiance diagnostique proches du maximum.